(Lionel Florence/Patrice Guirao/Pascal Obispo)
Le jour n'est pas levé mais ça ne change rien
Les murs sont condamnés à ne voir aucun matin
Y'a qu'une lumière filasse sur le froid du carrelage
Et la peur qui vous glace, vous tasse et vous ravage
Quand ça arrive, quand on y est, alors on sait
Il n'y a pas un homme qui soit né pour ça
Il n'y a pas un homme qui soit né pour ça
Il n'y a pas un homme, y'a pas un homme qui soit né pour ça
Des cris dans le couloir, le visage dans les mains
On compte l'éternité d'avoir les mêmes lendemains
On se sent seul et sale à bout de tout courage
Comme au fond d'une cale quand on sait le naufrage
Quand ça arrive, quand on y est, alors on sait
Il n'y a pas un homme qui soit né pour ça
Il n'y a pas un homme qui soit né pour ça
Il n'y a pas un homme, y'a pas un homme qui soit né pour ça
Qui soit né pour ça
La nuit n'est pas levée mais ça ne change rien
La vie est condamnée à n'espérer plus rien
Et ces jours que l'on raye ou qu'on décide pour vous
Est-ce qu'on en sort pareil, ou plus sage ou plus fou
Ou plus sage ou plus fou, ou plus sage ou plus fou
Ou plus sage ou plus fou
Il n'y a pas un homme qui soit né pour ça
Il n'y a pas un homme qui soit né pour ça
Il n'y a pas un homme, y'a pas un homme
Il n'y a pas un homme qui soit né pour ça
Qui soit né pour ça, il n'y a pas un homme
Il n'y a pas un homme qui soit né pour ça.
Writer(s): Patrice Guirao, Lionel Florence, Pascal Obispo
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