Le port de Nantucket a la douceur d'un lit
Et l'habitude y fait disparaître l'ennui
Et le brouillard étouffe le contour et le bruit
Du port et de la ville, et de la vie.
Dans la mer des Sargasses, les algues engourdies
Et les vertes épaves tournent à l'infini
Il y a tant de sirènes, il n'y a pas de merci
Dans la mer et l'amour et dans la vie.
Dans l'océan de ma vie, je te suis
Je te poursuis sans répit, Moby Dick.
Writer(s): Giorgio Giombolini, Nino Ferrer (agostino Ferrari)
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