(Pascal Arroyo/Jean-Patrick Capdevielle)
Dix millions d'ainsi soit-il, dès qu'il y a de l'orage sur la ville.
Dix millions d'ainsi soit-il portés par le vent.
Pas besoin d'avoir du style pour savoir qui tire les fils.
Pas besoin d'avoir du style dans la cour des grands.
Endors-toi dans moi sans mirage, dors, sois bien sage.
Endors-toi dans moi sous l'orage, dors sans image.
Un jour, quand ça sera mon tour, tu me donneras de l'amour.
Cellophane City, cellophane love, rien qu'un jour.
Cellophane City, cellophane love.
Rien n'est vraiment difficile dans le radeau des imbéciles.
Rien n'est vraiment difficile quand tu suis le courant.
Endors-toi dans moi sans mirage, dors sans image.
Un jour, quand ça sera mon tour, tu battras le tambour.
Cellophane City, cellophane love, rien qu'un jour.
Cellophane City, cellophane love.
Je m'arrête au carrefour, j'écoute les chiens.
Ma tête part en spirale, j'essaie d'oublier cent mille refrains.
La lumière me fait mal, les gens passent et disent que tout va bien.
Sous leur ciel de cristal, la peur dans les poches.
Rien dans les mains, seul comme un animal.
Endors-toi dans moi sans mirage, dors, sois bien sage.
Endors-toi dans moi sous l'orage, dors sans image.
Je te ferai jamais de peine, je m'ouvrirai les veines.
Je porterai toutes les chaînes.
Un jour, quand ça sera mon tour, tu me donneras de l'amour.
Cellophane City, cellophane love, rien qu'un jour.
Cellophane City, cellophane love, Cellophane City, cellophane love.
Rien qu'un jour, Cellophane City, cellophane love.
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