(Pascal Arroyo/Jean-Patrick Capdevielle)
Pousse le volume, t'es pas seul sous la lune.
La fin du voyage est pas loin.
Derrière la stratosphère, le point vert c'est la terre
La télé, la bêtise, l'or et la faim.
Les rues s'allument, tu les vois sous la brume.
La nuit résonne comme un tocsin.
Chacun joue sa petite guerre, celle qu'on fait sans rien faire
Celle qu'on perd sans savoir d'où vient la fin.
Mais n'aie pas peur, bébé martien, n'aie pas peur.
Quand tu nais chez les loups, tu prends le coup
Pour cacher ta couleur, ta couleur.
Non, n'aie pas peur, bébé martien, n'aie pas peur.
Quand tu vis chez les chiens, tu deviens
Pas martien par erreur, par erreur.
L'Asie, l'Afrique, le cauchemar cathodique
Big Brother tient tout dans ses mains.
Tu l'auras sans rien faire, ton paradis sur terre.
Si tu dis rien, tu vois rien, t'entends rien.
Mais n'aie pas peur, bébé martien, n'aie pas peur.
Quand tu nais chez les loups, tu prends le coup
Pour cacher ta couleur, ta couleur.
Non, n'aie pas peur, bébé martien, n'aie pas peur.
Quand tu vis chez les chiens, tu deviens
Pas martien par erreur, par erreur.
Mais n'aie pas peur, bébé martien, n'aie pas peur.
Quand tu nais chez les loups, tu prends le coup
Pour cacher ta couleur, ta couleur.
Non, n'aie pas peur, bébé martien, n'aie pas peur.
Quand tu vis chez les chiens, tu deviens
Pas martien par erreur, par erreur.
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