Du temps des Vespa 125, Lambretta, heureusement défuntes
J'les r'gardais de loin les p'tites filles, les bébés pas très gentilles
Au Parc des Princes Reims, Reims, moi à Romo dans ma province
Clearasil plein la figure, au fond d'mon cœur "no future"
Et c'est cette absence de "je t'aime" qui m'a tapé sur le système
Twist triste, mauvais souvenir d'une solitude qui doit pas revenir
Twist triste, mortelle rengaine, jamais, jamais plus, triste again
Jimmy, Dean, Elvis, Johnny, France, y'en avait d' la concurrence
Dans les dortoirs où on dormait! Y'avait pas vingt-quatre mille baisers
À chercher tout l'temps "Machine", j'brûlais toute ma Solexine
Je l'sentais bien qu'Only You, c'était pas pour moi du tout
Et c'est cette absence de "je t'aime" qui m'a tapé sur le système
Twist triste, mauvais souvenir d'une solitude qui doit pas revenir
Twist triste, mortelle rengaine, jamais, jamais plus, triste again
Maintenant, mes quinze ans, les scooters
C'est d'la marchandise d'antiquaires
Mes vieux soucis, mes anciennes paniques, j'en fais des vidéo-clips
Maintenant, ça swingue, ça baigne
Mais y'a toujours ce truc que j'traîne
Twist triste, mauvais souvenir d'une solitude qui doit pas revenir
Twist triste, mortelle rengaine, jamais, jamais plus, triste again
Jamais, jamais plus, jamais, jamais plus, jamais, jamais plus
Triste again
Twist triste, mauvais souvenir d'une solitude qui doit pas revenir
Twist triste, mortelle rengaine, jamais, jamais plus, triste again
Jamais, jamais plus, jamais, jamais plus, jamais, jamais plus
Triste again.
Writer(s): Louis Chedid, Alain Souchon
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