Là, au soleil, appuyée contre une chaise en osier
Tu as levé les yeux et puis tu m'as regardé
Ton sourire, ta beauté.
Oh, yeah!
Je me suis écroulé
Oui, tu m'as terrassé...
Une première fois rencontrée et déjà je suis en amour
Maintenant et pour toujours
Sans un mot sorti de toi, et déjà j'abandonnais tout
Je devenais fou.
Même ma peine d'avoir quitté Julie fut effacée
Pour avoir pu te regarder
Encore et encore
Là, au soleil, appuyée contre une chaise en osier
Tu as levé les yeux et puis tu m'as regardé
Ton sourire, ta beauté.
Oh, yeah!
Je me suis écroulé
Oui, tu m'as terrassé...
J'ai couru à perdre haleine, j'ai parcouru toutes les cités
Même celles abandonnées
Tu m'as laissé tell'ment de souvenirs
Que je ne peux pas t'oublier, tant je te désire.
Je suis de miel, étalé à tes pieds, je serai tes souliers
Si seulement je pouvais te chanter à pleine voix
Ma liberté
Et ça me plait de croire que tu m'aimeras
Encore et encore
Là, au soleil, appuyée contre une chaise en osier
Tu as levé les yeux et puis tu m'as regardé
Ton sourire, ta beauté.
Oh, yeah!
Je me suis écroulé
Oui, tu m'as terrassé...
Là, tu m'as vu, j'en suis sûr,
Sans rien dire, pas un geste vers moi
Oh, non!
Quelqu'un à l'air si froid
Pourquoi crois-tu que je suis ici
Au milieu de la nuit
Encore et encore.
Encore et encore, oh, yeah, oh, yeah!...
Je me disais: c'est bizarre!
Oh, non!
Me serais-je trompé?
Encore et encore...
Là, au soleil, appuyée contre une chaise en osier
Je te vois c'est bien toi, je sens mon c?ur s'agiter
Tu étais restée là
Oh, non!
Tu n'as même pas bougé
Je me suis avancé
J'ai hésité, fait deux pas, je ne me sentais pas bien
Et je t'ai regardé, tes yeux plongés dans les miens
Je n'avais l'air de rien
Oh, non!
Mais toi dans ce magasin
Tu n'es qu'un simple mannequin
Writer(s): Francis Christian Cabrel, Roger Gilbert Secco
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