Mon Coeur Est Un Cercueil Songtext

von VII

Les fiertés se placent mal et je reste stoïque, mélancolique et sinistre quand tout se passe mal .
Un pincement au coeur, moi je repense à vous, jamais je ne vous l'avoue car mon amour est moqueur .
Rien n'est facile, et je reste glacial ainsi là j'attends que le passé se calcine.
Je veux tout je n'ai rien mérité, ne confond pas l'orgeuil et la timidité.
Mon identité reste austère et sauvage, j'ai manqué de courage en voulant vous éviter, taper du poing, esquiver les embrassades mais derrière les façades je méditais sur les miens.
Ma jeunesse s'est faite assassinée, le tapin du coin pluôt que la dulcinée.
Une part de moi-même dans un VII explicit, bizarrement plus proche de KFK que Xzibit, sans certain quelle serait mon histoire, dire aux siens qu'on les aimes avant qu'il ne soit trop tard.
Quand le vide est total, tu parles à des bouteilles, t'accroche à tes broutilles dans un Pays de Cocagne.
Si pour toi je n'ai pas trouvé les mots, c'est que ces mots pour toi n'était pas asser beaux .
Ces absences dont j'ai souvent souffert j'en parle à coeur ouvert au delà de mes silences.
[Refrain: instru]
Descendre en enfer, visiter ses couloirs, ces bouts de ma vie passé dans des trous noirs.
Nos douceurs ressemblent à des menaces, nos sentiers se croisent mais la peur est un masque.
Laffection, souvent semblait bizarre, de la chaleur humaine dans le froid d'un blizard.
Dans un choc mes sentiments s'étalent, c'est mon corps déglingué dans un casier de métal.
Faire le mal, certains s'y consacre, un gilet par balle sans déballer son sac.
On s'accroche à nos secrets maléfiques, les abords de la vie nous paraissaient magnifiques .
L'enfance est un mythe que mes blessures nourissent, que l'enfer se referme et que mes démons pourissent.
Mes quelques sourrirs aiguisé ta rancune, j'ai craché sur des tombes, prier pour qu'on t'encule.
Ces mangeur de morts que j'entendais jaqueter, n'étais que des Pitbulls aux machoires de papiers.
Aucune de ces garces ne m'a parrut sincères, une queue dans la bouche, un doight dans le sphincter.
Affligé par l'infâme, aujourd'hui je peux dire 'j'ai trouvé l'avenir dans les bras d'une femme'.
Derrière mon orgeuil, moi je porte le deuil, de la froideur dans l'oeil car mon coeur est un cerceuil.
[Refrain: instru]
END