Pour les spécialistes du double-jeu...
Sincère jusque dans ma chair...
Soit Sincère, que je te sois cher ou pas,
J'te le suggère... Heywa!
C'est aussi chaleureux qu'un repas en famille
C'est aussi malheureux qu'un enfant banni
Tu veux garder tes amis evite de les surpasser,
Dur d'avancer a deux quand l'un bloque sur le passé.
Quand l'amour est intense, on d'vient naif par inadvertance,
On considère le futile, rejette l'importance.
Maturité s'acquiert avec le temps, l'expérience.
Sincerité est l'pont qui sépare méfiance et confiance
Sinon on s'offense, s'trahit, les coeurs se dechirent,
Y a une meilleure manière de vivre, de penser et d'agir.
Faut savoir se scruter, relativiser ses difficultés
Pour faire évoluer ses facultés.
[Refrain]
Pour tes amis, tes potos qui parlent pas mal dans ton dos...
Tant d'années qu'on s'connait,
Les fautes peuvent nous condamner ...
Pour ton mari et ta femme celle qui t'aime, protège ton dos...
Tant d'années qu'on s'connait,
Les fautes peuvent nous condamner
Comme Julio je n'ai pas changé mes habitudes,
Mon attitude, l'homme ne fait que confirmer mes certitudes.
Sincère avec moi-meme j'vis une réussite opportune,
Mon bonheur s'résume pas aux signes extérieurs de fortune, Ceux qui basent leurs vies sur l'argent,
Vivent a moitié leur present,
Risquent d'être surpris d'avoir construit leur propre prison.
Égoïste, Matérialiste, le résultat d'ta vie, il est bien triste.
Maudire les siens partout, les accabler d'douleur, ça porte pas bonheur
Même a son pire ennemi on souhaite pas le malheur,
Où est l'instinct protecteur, baisse pas les bras avant l'heure
Pour les parents qui font passer l'bonheur de leur enfant avant l'leur.
Vantardise, calomnie, rien qu'tu fuis et tu nies,
Les mensonges et les gris-gris relèvent de la vilenie,
C'est débile, ça laisse des traces indélébiles,
Transformons la justice en justesse,
Les jugements en sagesse.
[Refrain]
Pour tes amis, tes potos qui parlent pas mal dans ton dos...
Tant d'années qu'on s'connait, les fautes peuvent nous condamner ...
Pour ton mari et ta femme celle qui t'aime, protège ton dos...
Tant d'années qu'on s'connait, les fautes peuvent nous condamner
J'aime pas la jalousie, j'déteste l'hypocrisie,
Qu'est-ce tu fous ton nez dans ma vie,
T'as pas assez d'soucis,
Ensemble on a passer not' jeunesse,
Nos deux mères se connaissent,
Nos destins ont fait amis,
C'était écrit avant qu'on naisse,
Dans la ''tess'' le voisinage entend les disputes de chez nous,
Si ta mère se plaint de toi, t'inquiètes ça reste entre nous.
Primo: quand on aime on protège, Deuzio: c'est perso
Tersio, j'suis franc au recto, verso depuis le berceau,
Promet pas la Lune si t'as pas la fusée,
Usé d'se sentir desabusé, rusé,
Si t'as pas d'preuves, viens pas m'accuser,
[Intro: verti en harmonie avec tout c'qui m'environne,]
Confronté au mal-être de la societé, des fonds en rogne,
Pour mes fidèles qui couronnent mes efforts,
Grâce a Dieu, vot' sincerité,
J'suis toujours fort même dans le confort,
Dans un regard Sincère on peut déceler une pointe d'admiration
En dépits des divergences de perception.
[Refrain: x3]
Pour tes amis, tes potos qui parlent pas mal dans ton dos...
Tant d'années qu'on s'connait, les fautes peuvent nous condamner ...
Pour ton mari et ta femme celle qui t'aime, protège ton dos...
Tant d'années qu'on s'connait, les fautes peuvent nous condamner
Tes amis, tes potos... dans ton dos...
Tant d'annees qu'on s'connait... condamné
Ton mari et ta femme... protege ton dos
Tant d'annees qu'on s'connait... condamné
Writer(s): Housni M'kouboi, Jean-silver Bartoume
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