Je déteste les Départs
Je me déteste aussi
Je déteste cette gare
Où je ne t'ai rien dit
Je déteste l'espoir
Il m'a toujours vomi, il m'a toujours fait boire, m'a toujours endormi...
Puisqu'il faut se mentir pour vivre à peu près bien,
A la vue de ton sourire il ne me reste plus rien,
Mais à ce qu'il paraît on s'habitue à tout, Même à la cruauté même à l'absence de goût.
Je tenais une idée mais elle s'est envolée.
Je tenais à la vie, je n'y tiens plus merci...
Je dois comme les autres maintenant raser les murs,
En regardant mes pompes funèbres qui se fissurent.
Je déteste la pitié,
Je déteste les regards qui se permettent de juger, sans le moindre égard.
Puisqu'il faut se maudire pour vivre à peu près bien.
A la vue de ton sourire j'ai de quoi perdre le mien.
Mais à ce qu'il paraît on s'habitue à tout même à la morosité même à l'absence de goût.
Je tenais une idée mais elle s'est envolée.
Je tenais à la vie, je n'y tiens plus... je n'y tiens plus merci...
Je n'y tiens plus merci... x3
Je tenais une idée mais elle s'est envolée.
Je tenais à la vie, je n'y tiens plus merci...
Writer(s): Philippe Prohom, Thierry Michel Samoy, Fabrice Leyni
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