Tu me fais tourner la tête, tu me chavires le corps.
Avec un peu de tendresse tu me caresses
Et tu me laisses presqu'entre l'ivresse et la mort.
Tu me fais tourner la tête, tu me chavires le corps.
Avec un peu de jeunesse tu me délaisses
Et ne me restent que d'étranges rêves quand je dors.
Feux de paille ne seront jamais beaucoup plus clairs.
Où que j'aille, ce ne sera pas tout à fait l'hiver.
Je te porte en mon corps, et toi, de l'arbre mort
Tu fais l'arbre qui vit et du piano qui dort, jaillit la symphonie.
Tu me fais tourner la tête, tu me chavires le corps.
Avec un peu de tendresse tu me caresses
Et tu me laisses presqu'entre l'ivresse et la mort.
Tu me fais tourner la tête, tu me chavires le corps.
Avec un peu de jeunesse tu me délaisses
Et ne me restent que d'étranges rêves quand je dors.
Imaginer l'absence défigure ma vie.
Apprendre le silence comme une nouvelle vie
Me gèlerait le corps, le visage et l'esprit.
Alors ma symphonie deviendrait requiem en manque de "je t'aime".
Tu me fais tourner la tête, tu me chavires le corps.
Avec un peu de tendresse tu me caresses
Et tu me laisses presqu'entre l'ivresse et la mort.
Tu me fais tourner la tête, tu me chavires le corps.
Avec un peu de jeunesse tu me délaisses
Et ne me restent que d'étranges rêves quand je dors.
Writer(s): Nicolas Peyrac
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