REGARDES MOI CE TEMPS QUI NOUS échappe des mains,
Hier ne se renvois jamais par demain
Chaque second est une nouvelle arrivante
Nouvelle note que la vie nous chante
Pas zaper le pont sur la marne rapide
Voir les canards dans la lumière limpide
Ce moment unique reviendra t'il un jour
Ne jamais mourir sans oser dire l'amour
Tous ces chiffres en noir sur le calendrier
Saint Prospère et Saint Barnabé
Quatorzième semestres du quatrième mois
Celui qui t'aimait c'était moi, la la la la
La la la la
C'etait une minute, c'etait une année
C'etait un automne un soleil d'été
Le 38 octobre du troisième décant
Oh oui tient en fait s'était quand
Les heures qui s'écoulent nous laissant sur la braise
Tous ces pousses pendules qui filent à l'Anglaise
Aiment nous faire croirent qu'on peut faire des détours
Et qu'on peut attendre pour oser dire Amour,
Tous ces chiffres en noir sur le calendrier
Saint Prospère et Saint Barnabé
Quatorzième semestres du quatrième mois
Celui qui t'aimait c'était moi, la la la la
La la la la
Combien d'occasions ai je du laissé passer,
Mais c'est jamais trop tard, jamais asser,
Dans mille années lumière je lui dirais tout bas
Celui qui t'aimait c'était moi, la la la la,
La la la la,
C'était moi ...
La la la la,
La la la la,
C'était moi ...
La la la la
Writer(s): Michel Alain Jonasz
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