(Piero Calabrese/Jeanne Mas/Roberto Zaneli)
Oublie le temps qui passe s'il ne revient pas.
C'est qu'il y a des jours qui lassent et des lunes qui restent là.
Oublie toutes ces impasses qui n'évitent pas
Tous ces maux vieux de guerre lasse, cette lumière qui brûle ta voix.
Efface tout ça mais n'oublie pas de croire en toi.
Les yeux androgynes sont si fragiles.
Les yeux androgynes s'expriment, s'abîment au fond de toi.
Oublie ces hommes, ces femmes qui ne te voient pas
Toutes ces différences agacent, les gens vides ne souffrent pas.
Oublie ce vent qui glace, ta vie à l'étroit
Où tu crèves ou tu fais face mais surtout, n'y pense pas.
Les yeux androgynes sont si fragiles.
Les yeux androgynes s'expriment, s'abîment au fond de toi.
Writer(s): Jeanne Mas, Piero Calabrese, Roberto Zaneli
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