Ce matin j'ai pris mon temps, j'ai eu du mal a décolé
Le travail est devenu un gun sur ma tombe
J'suis bizare, paraît il qu'il ya plus de lumière sur méréptine
La rose fane mais pas ses épines
Personne ne peut comprendre qu'un seul être me manque
Alors je vins la transparanse,
Et puis je pleure en silence
Comme ci tout était normal, comme ci la vie était belle
Ce matin j'ai lu le journal envoyé quelque mail
Mais le caffé est amère, le soleil me brûle
Ils me parlent de salaires, je leur parle de la lune
Je leur dis que je vais bien,
Mes collègues me questionent,
Ils me soupçonent, pensent tous que je me drogue
Car j'ai les yeux rouge du matin au soir de la s'maine,
Comme ci l'amour laisser sa place au polaine
J'aimerai leur dire que mon corps est meurtri
Que sur la tombe de mon coeur,
Les crises en themes ont fleuri
Car tu m'as dis "je pars, mais ma chérie pleure pas"
Tu m'as dis "t'es belle ma fleur mais tu ne finiras pas seule"
Tu me manque mais les gens ne savent pas
Alors je dis que j'ai une poussière dans l'oeuil.
Hier, j'ai vu mes copines, elles parlent de leurs mecs
Quand il ya une qui se mari, bah il y en a une qui pleure son ex
Mais comme d'hab je ne dis rien, je les écoute en tremblant
Je leur fais croir que je vais bien, je fais semblant
Elles veulent toutes me voir en seuil sur mon mariage et le pari
Algérien, Italien, trop gros, et le chari
J'suis la cible des railleries car je suis seule
Elles disent, "Mel t'es pas en deuil?" Souri ma gueul
Alors je pleure de rire pour évacuer mes larmes
Je pleure en pleine voix je pleure mon mélocrame
Dans la salle de cinéma, j'avais un voile sur les ciles
Il n'y a que toi qui sache que je n'ai rienvu du film
Rien du tout, tout est flou, tout est trouble
Dans le noir, tout d'un coup, tout me fouté la trouille
Tout écrit, ni mes amis, ni les lumières de Paris
Ne pouront te faire revenir sur cette soirée d'avril
Ou tu m'as dis
J'ai pris mon temps avant hier
J'ai eu du mal à me levé
Je me suis rendu au près de ma mère
Chez elle, tout est claire, tout est tendre
Je sais que tu l'as aimé, et elle aurais aimer son gendre
Elle sait bien que je ne parle pas, mais elle sait me lire
Elle ne me demande pas, mais elle sait me dire
Elle qui me couvre et se tait quand mes amis la quetion
La vérité tu la connais, dont elle souffre à cause d'un homme
Puis elle souffle dans le ciel et les nuages
Bougent et prennent la forme de ton visage
Et celle de ta bouche, elle me dit regarde la pluie
Elle redonne vie a la terre
J'aimerais lui dire regarde ta fille, elle redonne vie à la paine
Mais je préfère me taire
Tout en préparant la table, elle me regarde faire
Dans son regard il ya comme un grain de sable
Car elle a souffler des heures et des heures sur mon oeuil
Mais n'a pas su m'enlever la poussière que j'ai dans l'coeur
Writer(s): Melanie Georgiades, Gregory Kasparian
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