Shade of Blue Lyrics
von Andre Popp
Je suis avec toi, où que tu sois." (Texte original)
Je me sens mal.
Réellement mal.
J'écoute en boucle ces musiques que j'avais composé pour elle.
Elle me manque terriblement.
Dis, ça t'es arrivé à toi, d'aimer un Fantôme?
D'aimer quelque chose plus fort que tout, que tu ne peux ni toucher, ni regarder?
Juste un mélange de nostalgie, de souvenirs, d'une odeur, d'un souffle.
Le plus dur, après une rupture, forcée ou cordiale, c'est de perdre les habitudes qui s'étaient instaurées, du moins, je pensais que c'était le plus dur.
Mais il y a plus puissant que l'habitude, plus puissant que le confort, plus puissant qu'un regard, qu'une main, qu'une image de couple ou qu'un deuil.
Il y a l'amour.
Quand il est réel, il se place au dessus de tout, absolument tout.
Je ne compte plus le nombre de fois où j'ai voulu me dire que j'avais fait mon deuil, par simple principe de juste l'énoncer.
Mais mon coeur, il pleure constamment, il bat la chamade dès que j'entends juste son nom, il se réduit en miettes, petit à petit, peut être en a t'il marre de moi, peut être voudrait-il que je le laisse tranquille, que je le laisse s'éteindre.
J'apprends à vivre pour deux, ma tête pour avancer, mon coeur pour me rappeler.
Je vis ce combat interne en continu, bien que j'arrive à doser de plus en plus la pression de ma tête sur cette pédale de coeur.
J'apprends à me frayer un chemin dans ce qu'on appelle la vie, à remplacer ce coeur handicapé par un coeur de pierre, il ne l'est que par image, mais on m'a dit qu'un jour, je pourrai sourire à nouveau, sereinement, alors je m'y force, j'ai pas le choix.
Il m'arrive de marcher dans la rue, et de sentir son parfum, des larmes qui montent, que je m'empresse de faire fuir, il m'arrive de l'apercevoir, au loin, et d'y voir mon fantôme la serrer contre lui.
Il m'arrive de me réveiller avec l'espoir que ce soit elle que je verrai en ouvrant les yeux.
Pourquoi, pourquoi on ne peut pas guérir?
Pourquoi dès l'instant où l'on aime vraiment, on se retrouve condamné à l'endurer pour l'éternité?
Pourquoi quand cette personne te brise, te détruit, te dégoûte, tu y retournes?
Pourquoi.
Je pensais avoir trouvé un remède, au poison qu'elle représentait, mais le seul remède que j'ai, c'est de vivre, il ne fait que de repousser l'échéance de l'oubli.
J'aime vivre, j'aime chaque putain de détail de la vie.
Mais je crois que je l'aime plus que je n'aime autre chose.
Je devrais la détester, mais j'y arrive pas.
Elle n'est pourtant plus rien, absolument plus rien de ce que j'ai connu.
Vulgaire, amochée, hautaine, profiteuse, manipulatrice, elle adore se victimiser, et se faire protéger par des molosses.
Je devrais vomir sur ça.
Mais non, j'y arrive pas.
Un ami m'a dit, que le pire dans tout ça, c'est qu'on ne peut pas vivre sans, on ne peut pas avancer et oublier, on doit apprendre à vivre avec ce manque, ce besoin, on a pas le choix.
J'ai pas le choix.
Il y a pire que d'être un étranger.
Un étranger, tu peux le regarder, il te regardera aussi, sans se poser de questions.
Il y a pire que ça putain.
Il y a, devenir cette personne évitée, cette personne oubliée, que l'on ne "doit" pas regarder, que l'on doit à tout prix rendre fantômatique, soit disant car "c'est mieux comme ça".
C'est pas toi, c'est moi, Adieu".
Pourquoi ces mots, lâches et sournois, faciles, destructeurs.
Pourquoi l'oubli?
Peu importe, je suis avec toi, où que tu sois.
Tu ne me verras pas, tu ne me toucheras pas, je ne suis qu'un fantôme, tu n'es que le mien, et nous nous oublierons, car je ne suis pas pour toi, ce que tu es pour moi.
Tu m'as amputé de toi.
L'
Eternalove, j'avais lié ces mots, car c'était toi.
Maintenant, c'est moi.
Mais j'avancerai, ça oui.
J'irai loin.
Très loin.
Je me sens mal.
Réellement mal.
J'écoute en boucle ces musiques que j'avais composé pour elle.
Elle me manque terriblement.
Dis, ça t'es arrivé à toi, d'aimer un Fantôme?
D'aimer quelque chose plus fort que tout, que tu ne peux ni toucher, ni regarder?
Juste un mélange de nostalgie, de souvenirs, d'une odeur, d'un souffle.
Le plus dur, après une rupture, forcée ou cordiale, c'est de perdre les habitudes qui s'étaient instaurées, du moins, je pensais que c'était le plus dur.
Mais il y a plus puissant que l'habitude, plus puissant que le confort, plus puissant qu'un regard, qu'une main, qu'une image de couple ou qu'un deuil.
Il y a l'amour.
Quand il est réel, il se place au dessus de tout, absolument tout.
Je ne compte plus le nombre de fois où j'ai voulu me dire que j'avais fait mon deuil, par simple principe de juste l'énoncer.
Mais mon coeur, il pleure constamment, il bat la chamade dès que j'entends juste son nom, il se réduit en miettes, petit à petit, peut être en a t'il marre de moi, peut être voudrait-il que je le laisse tranquille, que je le laisse s'éteindre.
J'apprends à vivre pour deux, ma tête pour avancer, mon coeur pour me rappeler.
Je vis ce combat interne en continu, bien que j'arrive à doser de plus en plus la pression de ma tête sur cette pédale de coeur.
J'apprends à me frayer un chemin dans ce qu'on appelle la vie, à remplacer ce coeur handicapé par un coeur de pierre, il ne l'est que par image, mais on m'a dit qu'un jour, je pourrai sourire à nouveau, sereinement, alors je m'y force, j'ai pas le choix.
Il m'arrive de marcher dans la rue, et de sentir son parfum, des larmes qui montent, que je m'empresse de faire fuir, il m'arrive de l'apercevoir, au loin, et d'y voir mon fantôme la serrer contre lui.
Il m'arrive de me réveiller avec l'espoir que ce soit elle que je verrai en ouvrant les yeux.
Pourquoi, pourquoi on ne peut pas guérir?
Pourquoi dès l'instant où l'on aime vraiment, on se retrouve condamné à l'endurer pour l'éternité?
Pourquoi quand cette personne te brise, te détruit, te dégoûte, tu y retournes?
Pourquoi.
Je pensais avoir trouvé un remède, au poison qu'elle représentait, mais le seul remède que j'ai, c'est de vivre, il ne fait que de repousser l'échéance de l'oubli.
J'aime vivre, j'aime chaque putain de détail de la vie.
Mais je crois que je l'aime plus que je n'aime autre chose.
Je devrais la détester, mais j'y arrive pas.
Elle n'est pourtant plus rien, absolument plus rien de ce que j'ai connu.
Vulgaire, amochée, hautaine, profiteuse, manipulatrice, elle adore se victimiser, et se faire protéger par des molosses.
Je devrais vomir sur ça.
Mais non, j'y arrive pas.
Un ami m'a dit, que le pire dans tout ça, c'est qu'on ne peut pas vivre sans, on ne peut pas avancer et oublier, on doit apprendre à vivre avec ce manque, ce besoin, on a pas le choix.
J'ai pas le choix.
Il y a pire que d'être un étranger.
Un étranger, tu peux le regarder, il te regardera aussi, sans se poser de questions.
Il y a pire que ça putain.
Il y a, devenir cette personne évitée, cette personne oubliée, que l'on ne "doit" pas regarder, que l'on doit à tout prix rendre fantômatique, soit disant car "c'est mieux comme ça".
C'est pas toi, c'est moi, Adieu".
Pourquoi ces mots, lâches et sournois, faciles, destructeurs.
Pourquoi l'oubli?
Peu importe, je suis avec toi, où que tu sois.
Tu ne me verras pas, tu ne me toucheras pas, je ne suis qu'un fantôme, tu n'es que le mien, et nous nous oublierons, car je ne suis pas pour toi, ce que tu es pour moi.
Tu m'as amputé de toi.
L'
Eternalove, j'avais lié ces mots, car c'était toi.
Maintenant, c'est moi.
Mais j'avancerai, ça oui.
J'irai loin.
Très loin.
Writer(s): Andre Charles Jean Popp
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Andre Popp - Shade of Blue
Quelle: Youtube
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